STRATEGIE POUR LA BIOREGION
Ce projet réalisé au cours du 2ème semestre s'appuie sur le mariage entre une situation et des partenaires bien réels et un socle théorique bien précis : l'école des territorialistes italiens et en particulier Alberto Magnaghi et son concept de "biorégion" qui propose une manière d'envisager un projet dans un site donné. En effet, Magnaghi propose de considérer le territoire dans lequel s'implante le projet comme un bien commun à tous ses acteurs, spécifique par son histoire et son paysage et qui identifie des ressources (matérielles ou non) comme leviers d'action pour le projet.
Dans ce semestre conduit par François Nowakowski, nous nous sommes intéressés au cas de la ville de Largentière (dans la Sud-Ardèche) et de la Communauté de communes du Val de Ligne (la Ligne étant la rivière qui coule à Largentière).
Largentière possède un centre-bourg patrimonialement riche mais en déclin en termes d'activité et de population. C'est dans ce contexte que notre atelier de projet a conclu un partenariat avec les élus locaux afin d'être force de propositions et porteurs d'un regard nouveau et de pistes d'action sur leur territoire.
Après une phase collégiale d'analyse orientée du territoire nous nous sommes répartis en trinômes (pour ma part avec Aymeric Broyet et Céline Cavalerie) pour partir sur des projets assez libres, tant en termes de programme que d'échelle.
Nous avons alors décidé de nous intéresser à l'espace du lit de la rivière, la Ligne, qui coule le long des anciens remparts de Largentière, et de l'envisager comme un espace public à l'échelle du centre-bourg de Largentière, mais également comme un bien commun et un vecteur de liens (sociaux et géographiques) à l'échelle du territoire.
Notre intervention se veut modeste et discrète pour ne pas altérer la qualité paysagère fabuleuse de ce lit de rivière, tout en étant visible et pratique, dans le sens où notre objectif est de rendre la place qu'elle mérite à la marche à pied, que ce soit dans le centre bourg ou dans le territoire, qui compte déjà des réseaux existants (une voie douce, un GR de Pays ...)
Nous avons débuté ce projet par une phase d'analyse du site.
Voici les éléments principaux retenus de l'analyse du site, aussi bien sur les aspects morphologiques que sociaux notamment.
Voici les planches produites avec mon binôme (Aymeric BROYET) lors du rendu de la phase de stratégie urbaine.
Nous avons débuté ce projet par une phase d'analyse du site.
Voici les éléments principaux retenus de l'analyse du site, aussi bien sur les aspects morphologiques que sociaux notamment.
Voici les planches produites avec mon binôme (Aymeric BROYET) lors du rendu de la phase de stratégie urbaine.
Nous avons débuté ce projet par une phase d'analyse du site.
Voici les éléments principaux retenus de l'analyse du site, aussi bien sur les aspects morphologiques que sociaux notamment.
Voici les planches produites avec mon binôme (Aymeric BROYET) lors du rendu de la phase de stratégie urbaine.
Nous avons débuté ce projet par une phase d'analyse du site.
Voici les éléments principaux retenus de l'analyse du site, aussi bien sur les aspects morphologiques que sociaux notamment.
Voici les planches produites avec mon binôme (Aymeric BROYET) lors du rendu de la phase de stratégie urbaine.
Nous avons débuté ce projet par une phase d'analyse du site.
Voici les éléments principaux retenus de l'analyse du site, aussi bien sur les aspects morphologiques que sociaux notamment.
Voici les planches produites avec mon binôme (Aymeric BROYET) lors du rendu de la phase de stratégie urbaine.
Nous avons débuté ce projet par une phase d'analyse du site.
Voici les éléments principaux retenus de l'analyse du site, aussi bien sur les aspects morphologiques que sociaux notamment.
Voici les planches produites avec mon binôme (Aymeric BROYET) lors du rendu de la phase de stratégie urbaine.
FÉLIX LACOIN
- Architecte / Ingénieur en urbanisme
Licence Archi (ENSAL)
La licence d'architecture sert à deux choses : enseigner les fondamentaux de l'architecture, et "écrémer" les étudiants à coups de jurys, de projets et de fatigue mentale et physique. On ne juge finalement pas tant de la progression et de l'apprentissage de l'étudiant, mais seulement de la qualité intrinsèque de ce qui est produit (peu importe le nombre d'heures) et de la capacité à le défendre.
Vous trouverez dans la galerie ci-contre mes projets de licence, qui montrent bien le faible niveau que j'avais dans les fondamentaux de la représentation graphique et de l'architecture à l'entrée en licence, mais aussi une certaine forme d'exigence que j'avais sur les intentions et les usages dans le projet d'architecture.
